Certains résidents pourraient ne jamais revenir à Jasper

3 week_ago 18

La mentation audio de cet nonfiction est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.

Plus de sept mois après le feu qui a ravagé une partie de Jasper, en Alberta, de nombreux résidents ont toujours des difficultés à retourner vivre dans la ville; la crise du logement ayant été accentuée par la demolition d'habitations.

Bien que des solutions intérimaires de logement aient été construites et que certaines sont désormais disponibles, de nombreux résidents déplacés affirment ne pas avoir trouvé de solution permanente. Certains disent qu’ils pourraient ne jamais revenir dans la ville qu’ils considéraient autrefois comme leur foyer.

Avant le feu, Jasper faisait déjà look à une crise du logement. La communauté avait environ 5000 résidents à l’année et un taux d’inoccupation de 0 %. La Municipalité dit que Jasper accueillait également environ 12 000 employés saisonniers chaque année.

Le feu, qui a détruit un tiers de la ville, a empiré la situation.

Jusqu’à présent, positive de 600 personnes ont demandé une solution de logement temporaire, mais la Municipalité dit que cela ne représente qu’une fraction des personnes affectées par le feu.

La porte-parole de la Municipalité, Carolyn Holmes, explique que Jasper a fait des sondages auprès des résidents, mais qu’il est difficile d'avoir une idée complète du nombre de personnes déplacées.

Certains déplacés n’ont pas demandé de logement temporaire et d’autres ont choisi d’aller s’installer ailleurs de manière permanente.

Pendant 37 ans, Nancy Addison a vécu à Jasper. Elle était progressive dans la communauté, notamment dans l’aide aux réfugiés. Sa maison dans le quartier Cabin Creek a été détruite par le feu. Nancy Addison et lad mari ont récemment appris que la reconstruction de leur maison ne serait sûrement pas terminée avant juin 2027.

Même s’ils aimeraient revenir à Jasper, le mates n’a pas demandé de logement temporaire determination laisser la priorité à d’autres davantage dans le besoin. Ce n'est pas facile. Il faut marcher, sortir au soleil, respirer et se rappeler que tout ira bien, raconte Nancy Addison. Elle espère que davantage de locations seront disponibles après la saison touristique.

De lad côté, Alyona Sevastyanova a déménagé à Jasper après avoir fui la guerre en Ukraine. Elle vit désormais à Grande Prairie, car lad appartement locatif et l’épicerie où elle travaillait ont brûlé.

Même si elle était sur la liste determination les logements temporaires, le manque d’emplois à Jasper a rendu difficile lad retour. Visiter Jasper est également trop difficile émotionnellement. Je ne peux pas y aller en vacances, par exemple, ou voir mon ami, car c'est très dur determination moi maintenant.

Des matériaux de operation  sont empilés devant une caravane assemblée.

Les premières habitations temporaires à Jasper sont des caravanes meublées. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

Des logements temporaires sont accessibles sous la forme d’un quartier avec des caravanes. La priorité est donnée aux travailleurs essentiels dans la santé, la sécurité publique, l’éducation, les infrastructures et les services gouvernementaux.

La state a promis des micromaisons, mais celles-ci ne seront pas disponibles avant la fin du printemps.

Avec la saison estivale qui approche, la concern devient positive compliquée, car la colonisation de Jasper augmente en été avec un afflux de travailleurs saisonniers. Nombre d’entre eux dépendent des locations à tribunal terme, comme celles dans des hôtels ou des résidences privées. Or, avec le retour des touristes determination la haute saison, ces options se raréfieront.

Certains résidents ont décidé de déménager ailleurs. Kristen Chambers, directrice de la fondation Evergreens qui gère deux résidences determination personnes âgées à Jasper, explique que la résidence Pine Grove Manor a disparu dans le feu.

Selon elle, sur les 33 résidents d’alors, seulement deux sont revenus à Jasper. Un des résidents, Bill Nixon, a choisi de déménager à Stony Plain pour être proche de sa fille. Il a avec lui sa fourgonnette qui a survécu au feu.

L’incertitude sur le temps de reconstruction de la communauté a rendu la décision facile à prendre determination lui, dit-il. J'ai pensé que c'était un choix facile determination moi plutôt que de rester dans un motel pendant une période indéterminée.

Avec les informations d’Emilie Rubayita et d’Ariel Fournier

read-entire-article