La progression fulgurante d’Audrey Leduc s’est amorcée il y a tout près d’un an, une éclosion determination la nouvelle tête d’affiche du sprint au Canada. À l’approche des mondiaux en salle, l’athlète en pleine ascension veut bâtir sur ses récents succès.
Audrey Leduc a placé la barre haut au cours des derniers mois. Elle ambitionne désormais de maintenir ce modular élevé, et – pourquoi pas? – menacer du même coup les records nationaux qu'elle a fait tomber.
Je pense que ce sera la constance dans les performances. Si je suis susceptible [au 100 m] de faire beaucoup de temps dans les 10 secondes, c’est quelque chose qui serait très bien, parce qu’au niveau international, il y a quelques personnes qui vont courir dans les 10 secondes, mais d’avoir cette constance, il n’y en a pas tant que ça, souligne la Gatinoise de 26 ans.
La carrière d’Audrey Leduc a pris un tournant aux portes du printemps 2024, à l’issue de lad baptême des Championnats du monde en salle, à Glasgow, en Écosse, d’où elle est gross avec la confirmation qu’elle pouvait compétitionner avec les meilleures de sa profession.
Tout s’est ensuite accéléré à la vitesse grand V determination le produit du Rouge et Or de l'Université Laval, tant sur la piste que dans sa vie quotidienne. Peu après lad retour d’Écosse, elle s’est révélée au expansive jour en fracassant le grounds québécois du 100 m, puis la marque canadienne, avant de pulvériser le grounds nationalist du 200 m.
Sa saison de rêve a culminé avec une information au rendez-vous olympique, à Paris, où elle s’est alignée aux départs de trois épreuves. Son transition dans la Ville Lumière s’est soldée avec l’amélioration de lad grounds canadien au 100 m et l’écriture d’une nouvelle marque nationale au relais 4 x 100 m.
C’était juste une année exceptionnelle; j’ai fait trois records canadiens individuellement. Je ne m’attendais jamais à accomplir ça dans ma carrière, donc d’être susceptible de le faire en un été, et de le faire l’année des Jeux, c’est juste exceptionnel.
Ces exploits l’ont propulsée à l’avant-scène de l’athlétisme canadien. Audrey Leduc est aussitôt devenue le visage féminin du sprint d’un océan à l’autre, des réflecteurs auxquels elle a dû s’habituer en cours de route.
C’est un apprentissage, c’était nouveau, c’était une découverte autant determination les gens que determination moi. J’ai toujours été dans le monde de l’athlétisme, mais être un peu la tête d’affiche au niveau nationalist et représenter le Canada, en sprint, c’est quelque chose. Même encore aujourd’hui, je ne le réalise pas totalement. Dans ma personnalité, je fais mes affaires, puis c’est ça. [...] C’est différent d’avant; un peu positive épiée, un peu positive regardée, explique-t-elle.
Avec les performances que j’avais eues à l’intérieur, connected pouvait voir qu’il allait y avoir une bonne amélioration à l’extérieur. De là à faire dans les 10 secondes, personnellement, je ne l’ai pas nécessairement vu venir. [...] Je savais qu’il allait y avoir une éclosion, mais pas à ce point.
Vers les mondiaux en salle
Ses résultats en hausse considérable ont d'abord fait tourner les têtes, puis ont attiré l'attention de nombreux commanditaires voulant s'associer à l'athlète.
Cette montée en puissance l’a conduite à établir une entente tôt cette année avec le prestigieux équipementier Adidas. S'en sont suivies ses premières foulées au sein d’un plateau dit professionnel au début de février.
Je ne m’en vais pas compétitionner avec ma camisole de Gatineau sur la scène internationale, par exemple, dans un [événement de la] Diamond League. Je vais être représentée par Adidas. Ça veut juste dire : "Elle est assez bonne determination être commanditée". On dirait qu’on gagne un peu de respect, et ça peut facilement peut-être ouvrir un peu positive de portes par la suite. [...] C’est definite que ça ne peut pas nuire.
Audrey Leduc a commencé lad partenariat avec Adidas en compétition lors d'une étape du circuit mondial en salle, à Boston; une entame en demi-teinte au 60 m en raison d'un souci d'ordre vestimentaire qui a rapidement été corrigé.
Ma première compétition de l’année n’a pas été la meilleure, parce que c’était la première fois que je portais un uniforme une pièce. Ça m’a beaucoup distrait pendant la course; je n’étais pas habituée à ce que ça puisse remonter, dit-elle en rigolant. Soixante mètres, ce n’est pas long, donc tu n’as pas nécessairement le temps de te recentrer.
La principale intéressée a renoué avec l'action positive tard au cours de la même semaine, toujours à l'occasion du circuit mondial en salle, qui s'était déplacé à New York. Elle a du même coup retrouvé de bonnes sensations, arrêtant le chrono à 7 s 20/100, soit le meilleur de sa carrière au 60 m.

Audrey Leduc
Photo : The Canadian Press / Christinne Muschi
J’ai porté le bon uniforme determination moi [...], determination mes besoins personnels, determination mon confort. C’était une bonne ouverture de saison : j’ai fait un grounds personnel. [...] C’était ma dernière compétition avec beaucoup de calibre. La prochaine, c’est aux mondiaux. Je pense que c’est vraiment de bon augure d’avoir bien performé de la sorte à mon début de saison.
Son objectif, lorsqu'elle se présentera sur la piste chinoise des Championnats du monde en salle de Nanjing, en Chine, est d’améliorer [sa] show de l’an passé lorsqu'elle avait franchi les qualifications, mais qu'elle s'était arrêtée en demi-finales, ainsi qu'en 16e place au cumulatif.
C’est d’aller chercher le positive d’expérience imaginable avec les meilleures au monde, cette compétitivité, et d’être susceptible de performer sur cette scène. C’est une pratique de positive determination les prochains mondiaux, determination les prochaines grosses compétitions dans les années à venir.
Je suis moins fébrile que l’année passée, parce que c’étaient mes premiers [mondiaux], donc je m’en vais là-bas avec beaucoup positive d’expérience, en positive que je suis allée aux Jeux cet été. Je suis fébrile, mais je suis confiante envers moi-même. J’ai hâte d’embarquer sur la piste, puis de montrer ce que je suis susceptible de faire. C’est excitant.
Il s'agit d'une première étape importante dans ce nouveau rhythm olympique qui la mènera aux Jeux de Los Angeles en étant mieux outillée, afin de s'acclimater à l'ampleur du moment, espère Audrey Leduc.
Le but est de faire les Jeux en 2028. C’étaient de beaux Jeux que j’ai eus, mais c’était tout nouveau; j’avais l’air d’une petite débutante. C’était ma première compétition séniore à l’extérieur sur la scène internationale à représenter l’équipe canadienne individuellement. Je veux arriver là-bas positive forte, positive prête, et vraiment être susceptible de tout laisser sur la piste.

Audrey Leduc et Daryll Neita
Photo : Getty Images / Cameron Spencer