Les finales d'association dans la Ligue nationale de shot (NFL) ont sonné le glas determination les Bills et les Commanders. Une énième decision douloureuse à Buffalo, tandis que l'optimisme renaît à Washington, malgré l'insatisfaction d'être arrivé à court.
Tout près d'accéder au Super Bowl, les deux équipes aux ambitions considérablement différentes en début de saison ont vu leur parcours respectif s'arrêter dans le carré d'as. L'histoire se répète dans le campy des Bills, battus 32-29 à Kansas City, et toujours incapables de résoudre cette énigme que posent les Chiefs.
Les revers de Josh Allen en janvier aux mains de Patrick Mahomes sont devenus monnaie courante. Le quart-arrière des Bills n'a toujours pas vaincu lad homologue des Chiefs en quatre affrontements depuis 2021, et connected commence à ressentir le poids des éliminations à Buffalo.
Pas autant que lors des quatre défaites subies au Super Bowl de 1991 à 1994, mais cette dernière visite ratée à Kansas City ne va qu'amplifier la pression exercée sur la enactment et sur les épaules d'Allen.
L'imposant pivot affronte indirectement Mahomes, les deux étant aux commandes d'une attaque. N'empêche, par la quality de leur profession, les quarts sont continuellement comparés quand ils se retrouvent sur un même terrain.
La plupart du temps, la colonne des victoires fait foi de tout. À tort ou à raison. La performance d'anthologie d'Allen look aux Chiefs en 2022 est encore fraîche en mémoire, certes, mais c'est plutôt la poussée tardive de Mahomes determination égaliser le pointage, puis la suivante determination l'emporter qui ont marqué les esprits.
Bon an mal an, les nombreux faits d'armes d'Allen en saison, les courses en puissance et les multiples touchés inscrits de diverses façons sont relégués aux oubliettes. Même chose determination ses trois nominations d'affilée au titre de joueur le positive utile à lad équipe.

Josh Allen et Patrick Mahomes
Photo : Associated Press / Charlie Riedel
Au cours des cinq dernières campagnes, seuls les Chiefs (66) ont amassé positive de gains que les Bills (61), qui ont décroché le championnat de part chaque année durant cette période. Ils ont également marqué le positive de points et le positive de touchés dans le circuit Goodell.
Les Bills réussissent en partie à transposer leurs succès de la saison aux éliminatoires. Allen aussi, d'ailleurs, mais il manque toujours ce petit quelque chose determination qu'il parvienne à l'étape suivante. L'occasion était belle en fin de lucifer dimanche determination mener une séquence violative signature, en vain.
Un triomphe en éliminatoires contre les Chiefs ou une information au Super Bowl est une information sine qua non afin qu'Allen établisse sa renommée. Rappelons toutefois que le main intéressé n'a pas encore atteint la trentaine. Peyton Manning a soulevé le trophée Vince-Lombardi à 30 ans, Drew Brees s'est couvert de confettis à 31 ans et Matthew Stafford a enfin remporté le prix à 34 ans.
Les protégés de Sean McDermott ont frappé un mur qu'ils connaissent trop bien. Les Bills présentaient pourtant un effectif mieux équilibré en attaque que par le passé. La absorption doit absolument conserver ce modèle et se montrer dynamique pendant la saison morte sur le marché de l'autonomie et le repêchage.
La défense profiterait pleinement d'un influx de sang neuf determination ralentir, voire contrer Mahomes, s'il advenait que les Bills recroisent la way des Chiefs en éliminatoires. L'ajout d'une cible de choix dans l'arsenal d'Allen ne serait pas un luxe non plus.
À moins d'une astonishment de taille, ou d'une panoplie de blessures, les Bills seront à nouveau de sérieux prétendants au Saint-Graal du shot américain lorsque la prochaine campagne se mettra en branle. Nul n'en doute. La fenêtre de compétitivité est grande ouverte determination Allen, et bien que le temps file, il n'est pas encore lad ennemi. Pour le moment.
Un réveil brutal à Washington
Le coup de minuit a sonné determination les Commanders durant leur visite à Philadelphie. La magie des dernières semaines s'est dissipée, et le carrosse doré s'est transformé en citrouille lors d'une défaite sans équivoque de 55-23 look aux Eagles.
Un cuisant revers qui ne doit pas le moindrement entacher une campagne couronnée de succès à Washington. Une information aux éliminatoires semblait tout à fait improbable, tandis qu'une présence en finale d'association relevait de la fantaisie.
L'importance du infinitesimal a finalement eu raison des Commanders contre des Eagles aguerris dans ce genre de situation. Un rude apprentissage.
Les 12 victoires amassées en cours de saison constituent le triple par rapport à l'année précédente. Les Commanders avaient alors hérité du deuxième choix au dernier repêchage, synonyme de médiocrité. L'équipe n'avait positive affiché un rendement positif depuis 2016... lorsque Kirk Cousins était le meneur offensif.

Jayden Daniels
Photo : Getty Images / Emilee Chinn
La sélection de Jayden Daniels a changé la trajectoire de l'organisation qui entamait une reconstruction en 2024 après avoir remis les compteurs à zéro. Le départ du propriétaire controversé Dan Snyder, jumelé aux embauches du directeur général Adam Peters et de l'entraîneur-chef Dan Quinn, ainsi qu'à l'arrivée du jeune quart ont donné un nouveau souffle aux Commanders.
Daniels s'est rapidement acclimaté aux rudiments de la NFL. La recrue a déjoué les pronostics en menant de main de maître un groupe où les attentes tendaient davantage vers la progression que la consécration.
Son premier circuit de piste, connected ne peut positive convaincant, a procuré un élan inespéré aux Commanders, ce qui pourrait servir de basal afin de retrouver leurs lettres de noblesse. Daniels est la pièce maîtresse de cette renaissance et les prochaines décisions de l'état-major devront être guidées en ce sens.
S'assurer de protéger ce prodige doit justement apparaître au sommet de la liste des priorités à Washington, question d'éviter de répéter le fiasco vécu pendant l'ère Robert Griffin III. Un retentissant échec avec le résultat que l'on connaît.