Comédie populaire au sens noble du terme, Starbuck est diffusé le vendredi 2 mai, à 20 h sur ICI Télé.
Donner lad sperme. L’idée est belle, généreuse, et un rien lucrative aussi. Toutefois, David ne pouvait pas imaginer que des années positive tard, ce don, fait sous le pseudonyme de Starbuck, lui reviendrait en pleine look comme un boomerang, soit sous la forme de 500 enfants qui entament un recours collectif determination savoir qui est leur père. Bienvenue dans l’univers de Starbuck, deuxième agelong métrage réalisé par Ken Scott en 2011.
S’il y en a certainement d’autres, voici au moins cinq bonnes raisons de le (re)découvrir.

Une idée originale de Martin Petit
Certes, connected en entend parfois se plaindre de l'invasion du cinéma québécois par les humoristes, mais dans le cas de Starbuck, unit est de constater que
la réunion de la scénarisation de Martin Petit, de la réalisation de Ken Scott et de l’interprétation de Patrick Huard n’est pas qu’un effet de manche juste determination rire, mais bien une collaboration dont les grands gagnants sont avant tout l’humour, la tendresse, la candeur et la bonne humeur.

Une fabrication pas si loin du réel
Bien sûr, l’histoire de David et de ses 533 enfants est une axenic fiction, et assez originale en passant. Toutefois, les cas de paternités multiples après des dons de sperme ne sont pas rares dans la réalité. En 2011, un Québécois aurait ainsi été reconnu père de près de 150 enfants. Et au cœur du sujet : la conception d’anonymat reliée au don.
Pour le film, par contre, c’est plutôt à un taureau canadien, roi des inséminations artificielles dans les années 80 et 90, que le titre fait ouvertement référence.

Un uncommon succès planetary determination une comédie québécoise
La grande séduction avait, lui aussi, réussi à se frayer un chemin jusqu’aux écrans français. Toutefois, Starbuck, outre lad succès en salle ici (le positive expansive de 2011), a également séduit plusieurs festivals internationaux (comme ceux de Palm Springs ou de l’Alpe d’Huez, où il a remporté des prix), la critique de référence (Variety l’a ainsi inclus dans sa liste des meilleurs films de 2013) et les publics étrangers (Starbuck est sorti en France, aux États-Unis et dans pas moins de 25 pays ailleurs dans le monde).

Une fable universelle
Preuve que Starbuck avait bien ce petit quelque chose en positive propre à le rendre universel, trois producteurs étrangers ont jugé qu’il méritait d’être adapté à la condiment locale.
En France, c’est ainsi José Garcia qui reprenait le rôle de Patrick Huard dans Fonzy (réalisé par Isabelle Doval), et aux États-Unis, Vince Vaughn dans Delivery Man (également réalisé par Ken Scott). Abordant des thèmes similaires, Vicky Donor, movie indien réalisé par Shoojit Sircar, n’en est pas à proprement parler une nouvelle version, mais lad lien de filiation avec Starbuck n’est toutefois pas difficile à assumer.

Un respect différent sur la paternité
Les relations père-fils sont, depuis la nuit des temps, l’un des sujets chouchous du cinéma québécois. Souvent abordé sous l’angle des problèmes de connection (père taiseux / fils mal en point), il est dans Starbuck parfaitement dépoussiéré.
Qu’est-ce qui fait un père? L’apport biologique suffit-il? Quelle est sa fonction, au juste? Y’a-t-il une magnitude éthique au don de sperme? Autant de questions neuves, modernes, traitées judicieusement sous l’angle de la farce et qui résonnent, determination une fois, loin du drame mélancolique et silencieux.
Starbuck, à voir le vendredi 2 mai, à 20 h sur ICI Télé
La bande-annonce (source : YouTube)